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Cours d'histoire I)

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Message  Arthur Mer 11 Fév - 19:43

1) Les relations Est-Ouest (1947-années 1970)


De la fin des années 1940 à la fin des années 1980, le monde est bipolaire, c'est-à-dire que la plupart des pays se rangent dans l'un des deux blocs dominés par l'une des deux « superpuissances » : l'URSS à l'est, les États-Unis à l'ouest. Il ne s'agit pas seulement du choc de deux impérialismes : chacun des deux camps est porteur d'une idéologie, d'un modèle de société, auquel il veut convertir le monde entier.

La compétition des deux superpuissances a mis le monde au bord de la guerre à plusieurs reprises, et s'est traduite par des conflits régionaux parfois sanglants ; mais elle n'a jamais dégénéré en une troisième guerre mondiale : c'est pourquoi on désigne cette période du nom de guerre froide.


1. Quels sont les grands traits du modèle soviétique dans l'après-guerre ?

• La société soviétique est socialiste : elle lutte pour l'égalité entre les hommes et prépare le passage de l'humanité au communisme (étape du développement humain caractérisé par l'égalité absolue : « à chacun selon ses besoins »). Il s'agit d'un socialisme ouvriériste : les ouvriers (les « prolétaires ») sont les opprimés par excellence, dont il faut améliorer le sort, et les modèles de l'humanité idéale à venir. C'est aussi un socialisme très volontariste : la volonté humaine est censée triompher de tous les obstacles - ainsi, un jour, grâce au socialisme, des tomates pousseront en Sibérie.

• La société soviétique est collectiviste : la propriété privée a presque disparu, toutes les entreprises appartiennent à l'État, qui les gère par le biais de la planification autoritaire. L'État soviétique est extrêmement puissant : il prend en main le destin de la collectivité comme la vie des citoyens, dans tous les détails. Pour mobiliser les citoyens, « l'avant-garde de la classe ouvrière » s'est organisée en un Parti communiste, parti unique en charge de l'essentiel du pouvoir réel. À la tête du Parti, jusqu'à sa mort en 1953, Staline a tous les pouvoirs d'un monarque absolu ; en 1956, son successeur Krouchtchev dénonce ses excès et ses crimes, mais rien ne change sur le fond.

• L'URSS n'est pas une démocratie au sens occidental du terme : pour les Soviétiques, la liberté qui règne en Occident n'est qu'une illusion, la vraie liberté réside dans l'émancipation du prolétariat.

Le régime est en fait extrêmement répressif (par exemple envers les religions, en matière de mœurs, etc.) et sanglant ; pourtant il présente une certaine attractivité en Occident et dans le tiers-monde, parce qu'il semble avoir résolu certaines impasses du capitalisme et de la démocratie : la misère, le chômage, les inégalités, la guerre (ce n'est que plus tard qu'on découvrira que la propagande soviétique a beaucoup menti sur tous ces points).



2. En quoi le modèle américain s'oppose-t-il au modèle soviétique ?

• Les deux modèles s'opposent à peu près sur tous les points. L'idéal américain n'est pas l'égalité mais la liberté : l'Amérique tolère d'énormes inégalités sociales et une misère criante, mais elle se représente comme le pays des opportunités, le pays où n'importe qui, en travaillant (et par la grâce de Dieu), peut devenir milliardaire.

• L'ensemble des entreprises sont privées. L'économie est organisée selon les principes de la libre entreprise et du libéralisme : le libre jeu du marché est censé assurer le progrès de l'ensemble de la société et l'État doit intervenir le moins possible. L'État américain est donc relativement faible. Le multipartisme règne ; les libertés individuelles sont sacrées. Le régime se réclame de valeurs religieuses : la formule « nous croyons en Dieu » figure sur les billets américains.

• À l'époque de la guerre froide, le modèle américain est, dans le monde entier, beaucoup plus populaire que le modèle soviétique ; les États-Unis jouissent alors d'une prospérité sans précédent et sans égale sur la planète jusqu'aux années 1970 : l'American way of life attire des immigrants venus du monde entier. Pourtant, le modèle n'est pas sans présenter des failles : le sort injuste fait aux Noirs, le manque de protection sociale (il y a des progrès dans ces deux domaines dans les années 1960) ; une politique extérieure impérialiste, à peine moins brutale parfois que celle de l'URSS, par exemple au Vietnam dans les années 1960.


3. Pourquoi les deux modèles en viennent-ils à s'affronter ?

• Les modèles de société proposés par les deux superpuissances valent pour l'humanité entière ; en particulier, l'URSS considère que l'histoire mène inéluctablement au communisme et que c'est donc un devoir de lutter pour son avènement dans le monde entier. Par ailleurs, les deux superpuissances sont de grands pays, qui tentent par tous les moyens de renforcer leur puissance.

• Au lendemain de la guerre, cependant, l'URSS et les États-Unis sont alliés contre l'Allemagne nazie, dont le modèle de société est aussi éloigné du modèle démocratique que du modèle communiste. Mais cette alliance commence à s'effriter dès 1946, lorsqu'il devient évident que l'URSS est décidée à imposer de force le communisme aux pays d'Europe centrale occupées par l'Armée rouge et soutient des guérillas communistes dans certains autres pays, comme la Grèce et la Chine.

• La rupture a lieu en 1947, lorsque les États-Unis annoncent leur volonté de tout faire pour stopper l'expansion du communisme, sans pour autant le combattre directement pour le faire reculer : c'est ce qu'on appelle la « doctrine Truman » ou doctrine du containment. C'est dans ce cadre que les États-Unis financent la reconstruction de l'Europe occidentale, par le biais du plan Marshall (1948-1952). En URSS, à partir de 1947 la « doctrine Jdanov » présente le monde comme divisé en deux blocs irréconciliables, engagés dans une lutte à mort.



4. Quelles sont les régions les plus affectées par la guerre froide dans les années 1940 et 1950 ?

• La guerre froide déchire le continent européen, coupé en deux par le « rideau de fer » ; seuls quelques pays restent neutres, comme la Suède. Le rideau de fer passe notamment au milieu de l'Allemagne, réorganisée en deux États en 1949 (la RFA à l'ouest, la RDA à l'est), et même au milieu de sa capitale, Berlin (la partie occidentale de Berlin est enclavée au milieu de la RDA). En 1948-1949, l'URSS essaye en vain de forcer les Occidentaux à abandonner Berlin-Ouest en en faisant le blocus : c'est la plus grave crise de la guerre froide en Europe. En 1961, pour freiner la fuite à l'ouest des Allemands de l'Est, les autorités est-allemandes isolent Berlin-Ouest par le fameux « mur de Berlin ».

• L'Asie est également touchée par la guerre froide. En 1949, les communistes s'emparent de la Chine (sauf Taïwan) ; entre 1946 et 1954, ils combattent la France en Indochine et, à l'indépendance du Vietnam en 1954, ils s'emparent de la moitié nord du pays. Surtout, entre 1950 et 1953, une guerre cruelle ravage la Corée, divisée entre un nord communiste et un sud allié des États-Unis : c'est l'apogée de la guerre froide.

• Enfin, en 1959, pour la première fois, la guerre froide atteint le continent américain, avec l'arrivée au pouvoir du communiste Fidel Castro à Cuba.



5. Quel rôle ont joué les armements atomiques dans la guerre froide ?

• Les États-Unis se sont dotés de la bombe A en 1945 ; ils s'en sont servis à deux reprises contre le Japon. En 1952, ils se dotent de la bombe H, plus puissante. Mais l'URSS rattrape rapidement son retard : elle se dote de la bombe A en 1949 et de la bombe H en 1953.

• La bombe atomique n'a pas été utilisée durant la guerre froide, mais elle a fait peser une menace incessante et très angoissante : dans les années 1960, les deux superpuissances ont déjà les arsenaux nécessaires pour détruire plusieurs fois la planète. En 1962, la crise des fusées de Cuba (les Américains ont découvert des armements nucléaires soviétiques en cours d'installation à Cuba, tout près de leur territoire) met le monde au bord de la guerre nucléaire.

• Mais paradoxalement, le danger est si grave qu'il retient les gouvernements américains et soviétiques de faire usage de leurs armements nucléaires : au total, l'« équilibre de la terreur » est plutôt un facteur de stabilisation des relations internationales.



6. Comment évoluent les relations des deux blocs dans les années 1960 ?

• La période qui va de la fin des années 1950 à la fin des années 1970 est restée sous le nom de « détente » : les relations entre les deux superpuissances s'améliorent alors sensiblement. C'est en partie à cause de l'équilibre de la terreur : chaque superpuissance fait régner l'ordre dans son camp mais sait qu'elle ne peut pas conquérir le monde. C'est aussi qu'en URSS, Staline a été remplacé par d'autres leaders moins agressifs. Enfin, chacun des deux Grands a ses problèmes domestiques, économiques notamment.

• L'apogée de la détente se situe au début des années 1970. Il y a notamment des accords de limitation des armements nucléaires stratégiques, les accords SALT (1972). En Europe, les deux Allemagnes se reconnaissent mutuellement en 1972 et les accords d'Helsinki (1975) aboutissent à la reconnaissance des frontières de l'ensemble des pays d'Europe (issues de la situation en 1945, donc très favorables à l'URSS), en échange d'un engagement, de la part du bloc de l'Est, à respecter les droits de l'homme.

• Cependant les deux blocs continuent à s'opposer idéologiquement et à s'affronter dans certaines régions du monde : ainsi, l'intervention américaine au Vietnam ne prend fin qu'en 1973. On peut donc dire la guerre froide continue. À la fin des années 1970, les relations entre les deux blocs se rafraîchissent d'ailleurs sensiblement, à la suite notamment de l'invasion de l'Afghanistan par l'Armée rouge en 1979.



Pistes de réflexion ;
La guerre froide déchire le monde entier : ainsi, en 1970, quatre pays (Allemagne, Corée, Vietnam, Yémen) sont divisés en deux moitiés appartenant à des blocs différents. Mais elle déchire aussi certaines sociétés : ainsi, en France, pays appartenant au bloc occidental, le premier parti dans les années 1950 est le parti communiste, partisan de l'URSS : les communistes français forment une véritable « contre-société », très isolée, et les médias communistes et anticommunistes se livrent à une véritable « guerre froide » à leur niveau.

La guerre froide touche tous les domaines : ainsi la conquête spatiale, qui mène les Américains sur la Lune en 1969, s'explique en partie par une rivalité de prestige américano-soviétique

Arthur
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Message  Arthur Mer 11 Fév - 19:46

2) À la recherche d'un nouvel ordre mondial


Entre le milieu des années 1980 et 1991, le communisme s'est effondré ; en 1991, l'URSS a disparu et, dans les années 1990, la Chine s'est dotée d'une économie en partie capitaliste. Ces évolutions ont mis fin à la guerre froide : il n'y a plus aujourd'hui qu'une seule superpuissance, les États-Unis. Pourtant l'ordre international est toujours contesté, notamment par l'islamisme, apparu dans les années 1970.



1. Qu'est-ce qui explique l'effondrement de l'URSS ?

• Vers 1980, l'URSS semble plus forte que jamais : en particulier, les pays socialistes se multiplient dans le tiers-monde. C'est en partie une illusion : maintenir l'influence soviétique dans le monde entier coûte cher ; par ailleurs, certains des socialismes du tiers-monde sont très différents de celui en vigueur en URSS.

• De plus en plus mal gérée, l'URSS s'appauvrit ; la dictature étouffante empêche les initiatives individuelles, l'innovation, donc la modernisation de l'économie. Le retard s'accentue par rapport à l'Occident : en particulier, vers 1982-1985, l'URSS n'arrive plus à suivre la course aux armements.

• Mikhaïl Gorbatchev, arrivé au pouvoir en 1985, tente de réformer le système en menant une politique de « reconstruction » de l'économie (perestroïka) et de « transparence » politique (glasnost). Par ailleurs, pour diminuer les dépenses militaires, il cherche à apaiser les tensions internationales. Mais cela n'aboutit qu'à une très grave crise économique, car l'économie socialiste se révèle irréformable, et à l'anarchie politique. Les peuples minoritaires, soumis aux Russes depuis la fondation de l'URSS, profitent de la liberté de parole retrouvée pour se révolter : en 1991, cette révolte aboutit à l'éclatement de l'URSS en quinze pays indépendants.

• Ce n'est donc pas une attaque occidentale qui a provoqué la fin de l'URSS, mais ses faiblesses internes : la voie tracée par Lénine en 1917 s'est révélée une impasse. Les États-Unis sont demeurés passifs : ils ont attendu simplement que leur adversaire s'effondre.



2. Quelles ont été les principales conséquences de la chute du communisme ?

• En Europe, la chute du communisme a provoqué l'effacement de la Russie, qui n'est plus désormais qu'une puissance moyenne, et la libération de l'Europe centrale, qui a rejoint l'Union européenne et l'OTAN en 2004. L'élargissement de la construction européenne à l'Europe centrale est donc une conséquence directe de la fin de la guerre froide.

• Dans d'autres régions du monde, la fin de la guerre froide a permis de régler des problèmes anciens : ainsi en Afrique du Sud, le système raciste de l'apartheid a pris fin en 1990-1994. La plupart des pays du tiers-monde qui se réclamaient du socialisme à l'époque de la guerre froide y ont renoncé.

• La conséquence essentielle, à l'échelle mondiale, est que les États-Unis n'ont plus d'adversaire majeur. Militairement, ils sont plus puissants que jamais ; économiquement et culturellement, leur modèle a cessé d'être massivement contesté. La chute du communisme a donné un élan supplémentaire à la mondialisation.



3. Un nouvel ordre mondial a-t-il remplacé celui de la guerre froide ?

• Pendant la guerre froide, c'était l'autorité de chacune des superpuissances sur ses alliés, et l'équilibre de la terreur, qui assuraient une certaine stabilité dans les relations internationales.

• Depuis le début des années 1990, cette autorité n'a pas véritablement été remplacée. Les États-Unis interviennent parfois à l'étranger, comme en Irak en 1991 et en 2003, ou (par le biais de l'OTAN) en Yougoslavie en 1999 ; mais ils n'ont ni les moyens ni la volonté de jouer les gendarmes de la planète : ils préfèrent dominer par l'économie et la culture.

• Dans ces conditions, c'est plutôt le désordre qui règne. L'ONU n'est guère moins impuissante qu'avant 1991. Il y a toujours des guerres ; elles ont même ensanglanté l'Europe pour la première fois depuis 1945 (dans l'ancienne Yougoslavie, en 1991-2000). En 1994, un génocide a eu lieu au Rwanda. Le conflit proche-oriental est plus meurtrier que jamais, notamment depuis la seconde intifada (1999). Le nombre de pays dotés de l'arme nucléaire s'accroît : un huitième, le Pakistan, s'en est doté en 1998. Le terrorisme est rapidement devenu un problème majeur : arme des faibles, il permet à des organisations sans grands moyens de faire beaucoup de dégâts et de marquer les esprits à peu de frais.

• Le « nouveau désordre mondial » contraste avec l'intégration toujours plus poussée des économies, renforçant l'impression que les gouvernements n'ont plus beaucoup de prise sur les évolutions majeures.



4. Quelle est la principale force de contestation et de déstabilisation du monde actuel ?

• Les forces nostalgiques du communisme sont marginales ; il se développe une contestation de la mondialisation et de l'hégémonie américaine dans une partie du monde développé, mais elle reste minoritaire et ne recourt pas à la violence.

• En revanche, depuis son apparition dans les années 1970, l'islamisme représente un problème de plus en plus grave à l'échelle mondiale. En principe, le projet des islamistes ne vaut que pour les musulmans, mais ils s'attaquent aux Occidentaux dans la mesure où ils les accusent d'opprimer et d'exploiter le monde islamique.

• C'est en 1979 que, pour la première fois, un pays, l'Iran, s'est doté d'un régime islamiste ; d'autres ont suivi, comme l'Afghanistan en 1994-2002 ; en Algérie, l'affrontement des islamistes et de leurs adversaires a provoqué une sanglante guerre civile à partir de 1991. Le 11 septembre 2001, le terrorisme islamiste a frappé les États-Unis chez eux, et l'intervention américaine en Irak, en 2003, montre à quel point les conflits provoqués par l'islamisme sont devenus mondiaux.


5. Quelles solutions sont envisagées face au « nouveau désordre mondial » ?

• Les Européens ont choisi de poursuivre la construction européenne, afin d'étendre et de renforcer l'espace de paix et de prospérité que représente l'Union européenne, et de pouvoir peser économiquement face à l'hyperpuissance américaine. Cependant, ils ne s'opposent pas aux États-Unis : l'OTAN subsiste, et s'est même étendue en Europe. D'autres régions du monde ont choisi, comme l'Europe, des stratégies de renforcement des liens régionaux : ainsi certains pays de l'Amérique du Sud (Argentine, Chili, Brésil, etc.) ont formé le Mercosur ; le Mexique et le Canada ont choisi de se rapprocher économiquement des États-Unis par le biais de l'ALENA, un accord de libre-échange (1994).

• Au niveau mondial, on essaie de revitaliser les institutions internationales, notamment l'ONU qui multiplie les interventions dans le monde entier. Certains voudraient qu'un « droit d'ingérence humanitaire » lui soit reconnu, mais d'autres trouvent que cela ressemble à un retour du colonialisme. Depuis 2002, une cour pénale internationale, qui juge notamment les responsables des massacres en Yougoslavie, représente une ébauche de justice internationale. En 1997, la conférence de Kyoto a adopté un protocole de lutte commune contre l'effet de serre, mais de grands pays, dont les États-Unis, refusent de le ratifier. Toutes ces évolutions n'en sont qu'à leurs débuts, et n'ont pas encore beaucoup d'effets concrets.


Piste de réflexion
Le monde bipolaire n'a duré qu'une génération, celle où l'URSS a été assez forte pour contester le capitalisme et la prééminence de l'Occident. Depuis son effondrement, le monde est en grande partie revenu à la situation antérieure : dans les années 1900-1930, les États-Unis étaient déjà la première puissance économique mondiale, et la mondialisation était déjà en cours avant que la crise des années 1930 ne l'interrompe. Ce constat ne doit pas cependant occulter certains changements majeurs qui se sont produits depuis les années 1930, en premier lieu la décolonisation.

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Message  Reivax Sam 14 Fév - 0:50

Hummm ça sent le site Réussite-Bac tout craché ça Very Happy Very Happy Very Happy
N'est-ce pas Arthur ?! Razz
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Message  Arthur Dim 15 Fév - 17:17

hum hum j'ai quasiment copié le bouquin :p
en même temps ça fait réviser...
Par contre pour les cartes j'vais devoir les scanner...

Arthur
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