cours de français ! (séquence 5)
+2
P@uline
Arthur
6 participants
TS :: Cours. :: Cours Autres.
Page 1 sur 1
cours de français ! (séquence 5)
Séquence 5
Images et rôles du poète
Images et rôles du poète
la dernière séquence de toute votre vie (à par si vous repiquez biensur xD)
Problématique générale :
Quelles sont les spécificités de l’œuvre poétique ?
Quelle image le poète donne-t-il de lui-même ?
Quels rôles se donne t-il ?
lecture analytique 1
Lecture analytique 1
Ronsard
Le second livre des Amours 1554
Ronsard
Le second livre des Amours 1554
1525-1585
Reflète le mvt humaniste
Surnommé le prince des poètes
Un rôle important dans l’histoire de la poésie en fondant la pléiade (7 constellations) avec Du Bellay.
A l’époque la langue officielle était le latin, mais après la réunification par François 1er, le pays doit avoir une seule langue : le français.
La poésie rend la langue française littéraire et la met en valeur.
1549 défense et illustration de la langue française
On remarque une double inspiration ;
- le lyrisme, l’amour la légèreté
- le sérieux (dans le sens des enseignements catholiques, du roi…)
Poème étudié n’a pas de titre, il parle d’amour.
S’inspire du style pétrarquiste, utilise le sonnet (Ronsard lui donnera même ses lettres de noblesse)
Composition : 2 quatrains et 2 tercets
Cela permet de concentrer et clarifier le message à faire passer.
2 mètres différents : le décasyllabe et l’alexandrin
Dans les quatrains les rimes sont embrassées, dans les tercets elles sont soit plates sois t embrassées soit croisées.
Schéma :
ABBA
CDDC
DDE
FEF ou FFE
Le vers 14 est appelé la pointe, il sert à résumer le poème ou a créer un effet de surprise
Deux thèmes sont mis en opposition dans les les quatrains et les tercets.
Cela met en valeur le lyrisme et l’amour malheureux ainsi que l’opposition entre le poète et la femme aimée.
Axes :
- cmt le personnage met en valeur les sentiments ?
- cmt le poète parle-t-il de lui ?
I] le poème de l’amoureux éconduit.
Vers 2 « Ronsard » = caractère autobiographique
1) le caractère autobiographique ; mise en valeur de la sincérité
Vers 2 = mise en scène concrète
+ discours direct
Vers 1 « chacun » = aspect incontestable, esprit d’authenticité
Vers 5 « notoire » = su de tous
L’auteur s’adresse à deux destinataires : explicitement à « chacun », à un « témoin » : nous. Mais aussi indirectement à Marie : pas de nom mais « elle » et « lui » = omniprésence de ce personnage.
2) le poète qui souffre ; le registre pathétique
mis en valeur par l’autobiographie.
La métonymie met en valeur la mélancolie
Ainsi que les couleurs « tristes et noires »
On a des blessures physiques : « plaie » « le mal » mais aussi morales avec « en langueur » (= abattu) « langoureux » au vers 17.
L’auteur veut frapper le lecteur en se montrant torturé.
Le rythme ternaire « pleurer, protester, jurer » met en valeur la puissance de l’amour en renvoyant au serment amoureux.
La répétition de « j’ai beau » , en anaphore montre un amour débordant.
L’injustice est aussi fortement présente avec des questions rhétoriques et des périphrases comme « désastre amoureux » ainsi que par des métaphores « plaie » « mal »
le poète est victime d’un amour pathétique, non partagé
3) structure
1er quatrain = résumé du poème
2ème quatrain = mise en valeur de la souffrance
1er tercet = rupture et effort
2eme tercet = conclusion et bilan
Cette construction met en valeur les sentiments, cela est accentué par un mètre court (décasyllabe)
II] l’opposition entre le poète et la femme aimée
Typique du pétrarquisme
1) la figure du poète
un certain stéréotype
- poète souffrant, physiquement et moralement
- poète impuissant : anaphore « j’ai beau » + antithèse « plus » > < « moins » vers 14 & 15.
Le poète est soumis à la femme au vers 11 « suis-moi », cela le dévalorise
2) la figure de la femme
- inaccessible = volonté d’idéalisation avec des hyperboles comme « cent fois » ou « jamais » aux vers 10 & 11
la femme n’est pas nommée et est caractérisée par un œil sévère, qui juge.
Ce n’est pas une vraie femme mais une idée idéalisé de la femme (c’est bien du F*l*i*r ça xD)
- cruelle : chute avec les quatre parallélismes + une antithèse : il n’y a pas de logique. La femme ne croit pas l’auteur alors qu’elle le voit : elle refuse l’évidence, cela est en partie illustré par « trop rigoureux » au vers 6.
Plaie > < gloire, s’ébat > < langueur : ces deux antithèses montrent que la femme torture à plaisir, c’est une sorte de bourreau. De plus on a « langueur > < moqueur » ces rimes sont en opposition, ce que l’on appelle un antithèse à la rime. De plus R étant un gutturale, l’allitération montre que cette femme est très masculine, elle commande au sein du couple.
Conclusion :
Sonnet pétrarquiste, met en valeur la forme rigoureuse et respectée.
Un amour pétrarquiste, le poète souffre.
L’aspect autobiographique montre une vision du poète différente de celle de la femme.
Ouverture :
Représentative de la pléiade, à la fois lyrique et savante, qui met en valeur la langue française.
Vous pouvez aussi ouvrir sur nos magnifiques textes de latin (ex : Catulle)
Dernière édition par arthur le Mer 11 Juin - 15:37, édité 1 fois
lecture analytique 2
Lecture analytique 2
Verlaine
Parallèlement
Verlaine
Parallèlement
Art poétique :
Représentation de la poésie,
Définition de la poésie,
Mise en pratique (illustration en vers)
Conseils :
Musicalité
Vers impairs et courts
Impressionnisme
Nuance
Doit renvoyer aux rêves
1844-1896
Verlaine est symboliste et parnassien ; il a fort soucis de l’esthétique et refuse de s’engager.
Sans le poème étudié Verlaine évoque la vie des prisonniers à travers un cadre impressionniste et réaliste.
Il existe un thème apparent ; la vie des prisonniers et un thème implicite ; l’image du poète.
I] l’univers de la prison
Réalisme & impressionnisme
1) l’aspect réaliste
Renforcé par le fait que Verlaine est vraiment allé en prison
- les lieux : « la cour » vers 1, « mur » vers 7, « cachot » vers 21, « en rond » vers 4
- action des prisonniers vers 11 « tourner » vers 38 « promenons nous » = promenade circulaire et sans fin.
« Fumer » = comportement désœuvré
- discipline : vers 21 « pas un mot ou bien le cachot » = alternative : on obéit ou on est puni
- vers 17 extrême pauvreté = compassion
« Bons vieux voleurs », « vagabond doux », « filous en fleur », « mes chers », « mes bons » : accumulation d’antithèses et d’oxymores dans le but d’atténuer, de provoquer pitié et de montrer l’affection.
ici mise en valeur du réalisme mais pas entièrement
2) l’aspect impressionniste
- métaphores :
« en rond », « tourner », « cirque », « meule » = suggère la prison
« Samson » « Dalila » = pas d’amour
« Philistin » = pas de combat > suggère la vanité
(Suite mix des cours de Laure et Anaïs ; les réclamations, c’est pour elle)
« Mais à la fois ton cœur ta foi et ton amour » vers 14 à 16 rythme ternaire = existence enfermée.
- la structure du poème :
Une structure répétitive avec tjs les même strophes, cela montre une vie répétitive », monotone : carcérale
Cinq strophes similaires comme une litanie, lyrique et élégiaque
Régulier malgré le mélange de décasyllabe et octosyllabes : rythme ralenti à cause des décasyllabes = reproduction du rythme lent de la marche des prisonniers (= mimétisme)
Verlaine se sert à la fois de son vécu et de ses impressions ; il mêle habilement réalisme et impressionnisme. Cependant il y a un rapprochement tout au long du poème, d’abord le poète observe, ensuite, il se déclare prisonnier.
II] la condition du poète :
Dans ce poème Verlaine fait un parallèle entre ce qu’il est et les prisonniers : il se sent prisonnier en temps que poète.
1) la construction du poème ; le jeu des pronoms
le narrateur est de plus en plus présent.
Au début on a une focalisation interne, une description.
En premier « ils » puis passage au « vous ».
« Tournez, Samson sans… » Apostrophe s’adressant directement à eux.
« Vaincu, risible de la loi » périphrase qui souligne l’empathie.
Passage du « vous » au « tu » = proximité encore plus importante
Strophe 3 : registre dominant = pathétique, ponctuation expressive hyperbole avec l’intensif si = on passe à l’empathie.
La fin de la strophe annonce la quatrième : de « nous » on passe à « on »
Strophe 4 : la communion avec « je » = identification du poète en prisonnier
« Contristé » = idée de faute
Prisonnier qui accepte son sort « société, pourquoi me choisirais-tu ? »
Strophe 5 : une communion encore plus forte avec le retour du « nous ».
Identification totale du poète au prisonnier + idée de résignation avec « paisiblement » et « fumons philosophiquement »
cette construction met en valeur le sens du poème : la condition du poète qui est emprisonné philosophiquement et rejeté de la société.
2) l’image qu’émane le poète ; l’aspect pathétique et lyrique
- l’aspect lyrique :
L’impressionnisme
1ère personne
Description
Expression de la subjectivité « deux » « bon « …
Aspect poétique : rythme
Nous = aspect personnel et universel
Aspect de complainte
- l’aspect pathétique
Allitération en « f » au vers 5 et allitération en « l » met en valeur qqch de doux : une idée de faiblesse renforcée par la souffrance de l’empathie.
Rythme ternaire « mous… » Renforce la souffrance et le désespoir
Vers 19 « humilié » notion d’avilissement renforcé par « pas un mot ou bien le cachot » avilissement social et de l’esprit.
On a un aspect pathétique pour émouvoir mais pas de révolte :
Le poète met en valeur une idée de naturel avec les questions rhétoriques et « paisiblement » « philosophiquement » montrant un homme qui supporte, un poète à la philosophie stoïcienne.
Conclusion :
Un poème qui tire sa force de son réalisme et de son impressionnisme.
Cela forme une » métaphore de la condition du poète, avec une image d’un auteur maudit.
D’ailleurs le contexte historique est un période ou l’on rejette l’art au profit de l’économie.
Ouverture :
Poésie représentative de Verlaine ; rythme musical, lyrisme, réalisme.
L’albatros ; poète lui aussi maudit
Hugo ; le dernier jour d’un condamné
Apollinaire « à la santé » (Alcools)
Dernière édition par arthur le Mer 11 Juin - 18:59, édité 2 fois
lecture analytique 3
Lecture analytique 3
Rimbaud
Illuminations, Aube
Rimbaud
Illuminations, Aube
Poésie symboliste
Rimbaud : 1854 1891
Symboliste et révolté il refuse l’ordre établi jusque dans le langage qu’il a même voulu renouveler.
Il se dit voyant.
Rimbaud veut inventer un nouveau monde grâce à la poésie, il est à l’origine de la poésie moderne.
Le poème en prose est un oxymore, il fut inventé par Aliasus Bertrand lorsqu’il écrivit « gaspard de la nuit en 1842.
Ses caractéristiques : un construction rigoureuse et logique, une chute, de nombreux effets de rythmes, des images, des sons, de la polysémie…
Poètes l’ayant utilisé : Baudelaire, Rimbaud, Perge, Henry Michaux…
I] évocation de la naissance du jour
Poème narratif (« alors » + emploi de l’imparfait)
1) la composition du récit
- la cohérence :
Parallélisme en la ligne 1 (ouverture) et la ligne 15 (fermeture)(deux octosyllabes)
Mise en valeur de l’aspect chronologique « aube » / « midi »
- l’aspect chronologique
profusion des indications temporelles « la première entreprise » « alors » « au reveil »… succession des mouvements
aspect temporel et spatial « Wassefall » « grand’ ville »
- univers merveilleux
personnifications lignes 3, 6…
aspect de plus en plus merveilleux avec l’apparition de la « déesse »
le monde semble se transformer.
- les différentes étapes
1er § : ouverture
2 & 3ème : réveil du monde, naissance du jour
4ème : transition, la déesse arrive
5& 6ème : rivalité & combat entre « je » et « la déesse »
7ème : fermeture, épilogue.
2) le merveilleux
- le pouvoir du narrateur :
§2 le monde se réveil dans un contraste.
Avant on avait un mode ensommeillé « rien ne bougeait » « morte » = une nature figée.
L’enfant réveille la nature « j’ai marché » « réveillant » « regardèrent » « se levèrent »
L’enfant est en communion avec la nature « j’ai embrassé, entouré »
- Le merveilleux n’est pas perturbant ; on n’est pas dans le fantastique.
Personnifications
Combat magique et étrange
L’enfant s’émerveille.
(Reprise de mon cours ^^)
poème narratif à la fois logique et énigmatique
II] le sens symbolique de ce texte
Poème à double sens : le statut du poète et la création poétique.
1) l’identité des personnages : « je » et « la déesse »
des personnages allégoriques
- je et l’enfant sont les même personnages ex § 5, d’abord on a « je » + déesse ensuite on a enfant + déesse donc je est bien l’enfant.
- La déesse est l’aube.
L’enfant est une personne qui peut avoir un regard neuf, différent de celui d’un adulte, le premier s’émerveille.
le poète à le pouvoir de s’émerveiller, de réveiller le monde par un pouvoir créateur.
Le poète est tout puissant avec « j’ai senti » « je l’ai entouré », avec ncp de sens, surtout le toucher.
Le poète crée le monde et parallèlement la poésie
2) une métaphore de la création de la poésie
- une poésie ambitieuse, qui révèle le monde.
« Je levais un à un les voiles » = révélation
Le poète rejette la société et dévoile un monde personnel, assez concret, qui renvoie aux sens.
- sens de l’aube : mise en lumière (=Illuminations)
- les ambitions des poètes en prose :
Transformer le genre narratif en genre poétique avec des rythmes et des images. La poésie repose sur le contenu, le langage et non sur la forme.
Conclusion :
Aube = merveilleux de la nature et naissance de la poésie.
Rimbaud disait que le poète était un voyant.
Cette poésie est représentative du symbolisme
= Verlaine, Mallarmé, Baudelaire…
Prend des distances vis-à-vis de la réalité tout en restant sérieux.
Dernière édition par arthur le Mer 11 Juin - 20:04, édité 2 fois
lecture analytique
je sais, vous êtes tristes d'en arriver déjà là, une fois ce texte appris il n'y en aura plus d'autres. (à part la 60aine de lecture complémentaire et cursive bien entendu xD)
Lecture analytique 4
Aragon
Le roman inachevé, « strophes pour se souvenir » 1956
Lecture analytique 4
Aragon
Le roman inachevé, « strophes pour se souvenir » 1956
Aragon : 1897 – 1982
Poète surréaliste (avec Henry Breton) et engagé auprès du parti communiste qui publie en temps que résistant « les lettres françaises »
Ici le texte est écrit pour réhabiliter le groupe Manouchian, pour cela il rend compte de la situation à travers un cadre réaliste.
I] un poème réaliste et informatif
1) la composition du texte
- au début texte normal = récit
- ensuite en italique = discours de l’un des condamnés à sa femme : une lettre d’adieux
3 parties principales :
- § 1 à 3.5 adresse au résistants dans un récit = impression que les résistants sont encore vivants, on a l’éloge de quelque chose de proche.
§ 1 & 2 récit de l’action des résistants : « servir simplement » vers 4, « partisans » vers 5 : positif « MORTS POUR LA France » en majuscules : fait référence aux monuments (hommage)
Mais contraste avec « nul ne semblait vous voir français » = mépris
- Discours : rapport des paroles de la lettre d’adieux du chef Manouchian.
Lyrisme omniprésent, inspiré par les anaphores et les sentiments, mis en valeur par des rythmes ternaires « Ma Mélinée, Ô mon amour, mon orpheline » + apostrophe qui donne un aspect solennel.
Le personnage ne semble pas haineux, il ne pense pas à l’injustice.
Tout ce que ce dernier veut est la libération de sa femme = cela montre un homme bon, exceptionnel, doté d’une grande âme.
Le résistant glorifie le futur et utilise ce dernier pour définir des choses qui vont se passer obligatoirement = optimisme, apaisement.
- § 7 quitte le lyrisme, reprise du discours narratif.
Sert de conclusion ; idée de mort atténuée par des métaphores « fusils fleurissent » « s’abattant »
4 anaphores, deux antithèses
on est en présence d’un texte construit
2) un poème informatif
le vrai destinataire est le français des années 1955.
- présentation des personnages
Etrangers « difficile à prononcer » « nul ne semblait » + parallélisme avec l’affiche de propagande qui met en valeur des préjugés ; les étrangers sont dangereux pour la société.
Pourtant on met en valeur leur patriotisme avec « français de préférence » = par choix + « donnaient leur cœur » vers 32 et « nos frères » vers 33.
- présentation de la situation de l’époque
Les résistants sont des personnages morts dignes (vers 1 & 2)
La propagande est très présente et inspire la peur des résistants, surtout des étrangers « couvre feu » vers 13 « l’affiche » vers 8 « sans yeux » vers 12
« givre uniforme » à la strophe 3 renvoie à l’occupation.
II] l’éloge des résistants
1) les procédés utilisés
- § 1 mise en valeur de la simplicité et du courage par une mort simple et une personnification de cette dernière au vers 5. Les résistants gagnent quand même face à cette mort personnifiée, ils sont des héros.
- reprise des mots de Manouchian, très peu pathétique mais plus lyrique et altruiste. Au vers 27 remarque d’un intensif, pas de ponctuation = trace de surréalisme.
- Dernier § : insistance avec les anaphores pour que cela rentre dans les mémoires, même de ceux qui n’ont pas vécu la guerre. Le message passé est l’id éal des résistants.
2) l’aspect poétique au service de l’argumentation
- la forme
mise en valeur par des strophes quintiles régulières et les alexandrins donnant un aspect sérieux, solennel. = célébration.
Sonorités, un rythme toujours présent de la rime en « AN » pouvant renvoyer à Manouchian mais surtout à la mise en valeur de quelque chose de doux et de régulier, calme et posé. Les mots se terminant en sont importants et renvoient à la fois au titre, au sujet et à la chanson.
Le sens est simple, accessible à tous > < Rimbaud.
- les images :
Résistance : « doigts errant »
Occupation « sans yeux »
Morts atténués « fusils fleurissent »
Idée de quelque chose de très expressif, au vers 31 on a un message de réconciliation mis en avant.
- la mise en valeur des sentiments
Surtout dans le discours.
Vision subjective de la propagande, condamnation implicite mais facilement décelable.
Un texte concret qui parle plus aux sentiments qu’a la pensée.
l’aspect poétique rend l’argumentation plus percutante.
Conclusion :
On est en présence d’un témoignage dans une poésie argumentative parlant de la réhabilitation, faisant l’éloge de la résistance.
La poésie permet de réconcilier le caractère sensible et argumentatif (> < essais)
Ouverture :
André Malreau = prise par les sentiments pour louer la résistance « entre ici Jean Moulin… »
Puissance de la poésie engagée dans les châtiments d’Hugo.
D’autres formes d’argumentation.
Dernière édition par arthur le Jeu 12 Juin - 12:47, édité 1 fois
Re: cours de français ! (séquence 5)
Pourquoi être pessimiste voyons ... on ne va tout de même pas repiquer ^^
P@uline- Encouragement +
- Nombre de messages : 52
Age : 31
Localisation : Au milieu de nul part ...
Date d'inscription : 29/04/2008
Re: cours de français ! (séquence 5)
Waoh comment on est trop forts en fait ! Bon Arthur je te donne l'ordre de finir la séquence 5 ptdr !
Oui : le campeur est chiant xD
Oui : le campeur est chiant xD
Re: cours de français ! (séquence 5)
c' est clair arthur que t'es motivé!!
heuresement qu'on était sérieux en francais malgré les piques niques!! trés discrets !
les manifiques portraits des gens de la classe !!et les missions déo avec pauline et fyfy!!
heuresement qu'on était sérieux en francais malgré les piques niques!! trés discrets !
les manifiques portraits des gens de la classe !!et les missions déo avec pauline et fyfy!!
Anaïs- Avertissement Travail.
- Nombre de messages : 13
Age : 32
Localisation : paumée ...
Date d'inscription : 11/05/2008
Re: cours de français ! (séquence 5)
hum hum ^^' que des bons souvenirs :p
j'crois que le pire c'est quand même les pique-niques, ça peut vrmt montrer les préférences de la prof :p
(j'crois que seule anaïs comprendra ^^')
sinon j'aime bcp ton image perso !
tu sais qui l'a dessinée ?
j'crois que le pire c'est quand même les pique-niques, ça peut vrmt montrer les préférences de la prof :p
(j'crois que seule anaïs comprendra ^^')
sinon j'aime bcp ton image perso !
tu sais qui l'a dessinée ?
Re: cours de français ! (séquence 5)
J'tiens à préciser que Jérôme capte même pas qu'on lui met la tonne de déo en français
Haaa sacré ... nan rien .
Owii les pique-niques c'est discret mais y'a plein de miettes par terre ^^'
" Psssssstttttt Thur, file un bout stp ! >_<° "
Mühahaha !
Haaa sacré ... nan rien .
Owii les pique-niques c'est discret mais y'a plein de miettes par terre ^^'
" Psssssstttttt Thur, file un bout stp ! >_<° "
Mühahaha !
Steffy- Encouragement +
- Nombre de messages : 54
Age : 31
Localisation : Humm profondément... ^^
Date d'inscription : 30/04/2008
TS :: Cours. :: Cours Autres.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|