cours de français ! (séquence 4)
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cours de français ! (séquence 4)
Enfin Bel Ami sans le pavé (lourd et répétitif) l'accompagnant.
(incomplet)
(incomplet)
introduction
Introduction à bel ami
Bio de Maupassant :
1850 – 1893
Né en Normandie, s’est exilé à paris pdt 10 ans après son bac, s’en est retourné en Normandie ensuite.
Enfance libre au contact de nombreuses personnes.
Sa mère lui a enseigné le goût de la littérature (en particulier Flaubert)
Il était destiné à faire des études de droit.
Mais en 1870 il assiste à la guerre et à l’humiliation des Français, ce qui le rend antimilitariste.
Puis il travaille dans des bureaux parisiens (éducation nationale) où il observe les passants.
Il devient très sportif (aviron), séduisant et attrape la syphilis.
Il vit comme un mondain, fréquente Flaubert et le groupe des naturalistes mené par Zola.
En 1880 publication de sa première nouvelle Boule de Suif grâce à Zola dans un recueil : les soirées de Médan.
En 10 ans il publie 300 nouvelles et 6 romans ;
- Une Vie 1883
- Bel Ami 1885
- Montoriol 1886
- Pierre Et Jean 1887
- Fort Comme La Mort 1889
- Notre Cœur 1890
Il se fait journaliste, chroniqueur dans Gil Blas et devient de plus en plus riche, ce qui le pousse à beaucoup voyager.
Puis sa santé s’altère ce qui donne vie à de nouveau thèmes dans ses écrits (Le Horla > folie)
Il commence une paralysie en 1891, fait un ts puis est interné.
Conclusion ;
bcp de liens entre sa vie et son écriture
Contexte :
- historique :
France déchue 1870 :
> chute de Napoléon III
> la Commune
Mise en place de la dure IIIème République en 1871 (jusqu’en 1914), vient alors le temps des réformes (scolaires, syndicats, libertés de la presse, municipales. . .)
fin de siècle mouvementé qui annonce la modernité du XXème siècle.
- la vie coloniale :
Des allusions à la crise de la Tunisie (reprise au Maroc = témoignage politique)
Expansion de l’empire colonial (Madagascar, Tunisie, une partie de l’Asie Mineure, Afrique du Sud)
- une société très hiérarchisée :
4 classes :
> Bourgeoisie, très influente (conformisme = valeur de la famille, patrie…)
> Les nobles, classe du passé (Une vie)
> Les paysans, de plus en plus pauvres à cause du rassemblement des terres due à l’exode rurale.
> Les ouvriers, très pauvres, nombreux et très exploités (mines filatures…) (Germinal Zola)
- une presse en pleine expansion :
De plus en plus lue, son prix baisse grâce à la mécanisation et l’alphabétisation
En 1881 ; liberté de la presse.
2 types de presses :
> Politique, d’opinion (Le gaulois)
> Populaire, ragots, faits divers (Le Petit Journal)
La presse est dite comme le 4ème pouvoir.
- vie littéraire et artistique :
Deux courants :
> Le réalisme (représentation de la médiocrité)
> La naturalisme (rapport à la réalité)
(voir poly roman et société)
On voit toujours des écrivains engagés comme Zola à travers l’affaire dreyfus.
Les écrivains voient leur niveau de vie s’élever avec l’apparition des droits d’auteur au tirage.
En peinture deux mouvements s’opposent :
> Le réalisme : Courbet
> L’impressionnisme ; Monet, Manet, Renouas, Matisse, Herbin
La photographie se développe.
Bio de Maupassant :
1850 – 1893
Né en Normandie, s’est exilé à paris pdt 10 ans après son bac, s’en est retourné en Normandie ensuite.
Enfance libre au contact de nombreuses personnes.
Sa mère lui a enseigné le goût de la littérature (en particulier Flaubert)
Il était destiné à faire des études de droit.
Mais en 1870 il assiste à la guerre et à l’humiliation des Français, ce qui le rend antimilitariste.
Puis il travaille dans des bureaux parisiens (éducation nationale) où il observe les passants.
Il devient très sportif (aviron), séduisant et attrape la syphilis.
Il vit comme un mondain, fréquente Flaubert et le groupe des naturalistes mené par Zola.
En 1880 publication de sa première nouvelle Boule de Suif grâce à Zola dans un recueil : les soirées de Médan.
En 10 ans il publie 300 nouvelles et 6 romans ;
- Une Vie 1883
- Bel Ami 1885
- Montoriol 1886
- Pierre Et Jean 1887
- Fort Comme La Mort 1889
- Notre Cœur 1890
Il se fait journaliste, chroniqueur dans Gil Blas et devient de plus en plus riche, ce qui le pousse à beaucoup voyager.
Puis sa santé s’altère ce qui donne vie à de nouveau thèmes dans ses écrits (Le Horla > folie)
Il commence une paralysie en 1891, fait un ts puis est interné.
Conclusion ;
bcp de liens entre sa vie et son écriture
Contexte :
- historique :
France déchue 1870 :
> chute de Napoléon III
> la Commune
Mise en place de la dure IIIème République en 1871 (jusqu’en 1914), vient alors le temps des réformes (scolaires, syndicats, libertés de la presse, municipales. . .)
fin de siècle mouvementé qui annonce la modernité du XXème siècle.
- la vie coloniale :
Des allusions à la crise de la Tunisie (reprise au Maroc = témoignage politique)
Expansion de l’empire colonial (Madagascar, Tunisie, une partie de l’Asie Mineure, Afrique du Sud)
- une société très hiérarchisée :
4 classes :
> Bourgeoisie, très influente (conformisme = valeur de la famille, patrie…)
> Les nobles, classe du passé (Une vie)
> Les paysans, de plus en plus pauvres à cause du rassemblement des terres due à l’exode rurale.
> Les ouvriers, très pauvres, nombreux et très exploités (mines filatures…) (Germinal Zola)
- une presse en pleine expansion :
De plus en plus lue, son prix baisse grâce à la mécanisation et l’alphabétisation
En 1881 ; liberté de la presse.
2 types de presses :
> Politique, d’opinion (Le gaulois)
> Populaire, ragots, faits divers (Le Petit Journal)
La presse est dite comme le 4ème pouvoir.
- vie littéraire et artistique :
Deux courants :
> Le réalisme (représentation de la médiocrité)
> La naturalisme (rapport à la réalité)
(voir poly roman et société)
On voit toujours des écrivains engagés comme Zola à travers l’affaire dreyfus.
Les écrivains voient leur niveau de vie s’élever avec l’apparition des droits d’auteur au tirage.
En peinture deux mouvements s’opposent :
> Le réalisme : Courbet
> L’impressionnisme ; Monet, Manet, Renouas, Matisse, Herbin
La photographie se développe.
Bel ami est-il naturaliste ou réaliste ?
En quoi est-il représentatif du style de Maupassant ?
En quoi est-il représentatif du style de Maupassant ?
séquence 4 texte 1
Lecture analytique 1
L’incipit p. 29-31 « quand la caissière […] homme de famille »
L’incipit p. 29-31 « quand la caissière […] homme de famille »
En quoi est-ce un incipit réaliste ?
Quel est le personnage présenté ?
Fonctions de l’incipit :
- donner des infos réalistes et représentatives de Maupassant
- présenter le héros et ses aspirations
I] un début de roman réaliste
1) le cadre ;
- époque :
Pas d’indication d’année donc on est dans le contemporain (Fin du XIXème)
Monnaie en cours §4
§ 5 et §6 habillement > chapeau haut de forme & complet
> Volonté d’ancrer le personnage dans son époque
> Personnage encré socialement
> Personnage encré dans le thème de l’argent
Cadre réaliste (pas de longue description comme chez Balzac ou Zola)
- lieux :
Noms de rue Notre dame de Laurette §4 (pauvre), Boulevard des capucines §9 (riche)
> Paris pauvre = celui que connaît l’auteur
> Description péjorative : égouts, miasmes § 7 & 8 = accumulations de désagréments
+ §3 entre deux âges, petites… + accumulation
> Duroy rejette les gens (focalisation interne)
réaliste car court mais révèle aussi le style de Maupassant car on est face a une sélection des éléments décrits.
2) un début « in médias res » ;
- « quand la caissière » > plongé au cœur de l’histoire
> Déjà commencé
> Effet de naturel
- dynamisme :
De l’action pas d’introspection (vbe d’action, héros tjs dans l’action)
Personnage concret qui ne réfléchit pas sur le sens de la vie (citer Horace / épicurisme)
> Actions quotidiennes sans passages extraordinaires
3) focalisations ;
- focalisation omnisciente (narrateur sait tout)
§2 parallélisme par nature, par pause
Qq1 qui aime paraître > caractère du personnage
+ Évocation du passé
> Focalisation très informative
- focalisation interne (le personnage pense)
§2, 3 & 10 le personnage réfléchit > marque de subjectivité (pensées du personnage)
Questions concrètes = pas de psychologie
Discours indirect > « il se dit que » « il pensait que »
Discours indirect libre > pas de verbe introducteur
> Focalisation moins informative
- focalisation externe
Comment le personnage agit = description de l’extérieur
> Le personnage garde une partie de son mystère
signe du roman réaliste : on ne sait pas trop où le narrateur se cache (comme chez Flaubert), le narrateur très objectif est caractéristique de Maupassant.
Permet d’introduire le mystère du personnage haut en couleur, ambigu (comme Dom Juan)
II] la présentation du Personnage principal
Ambitieux, séduisant > < médiocre
1) le personnage du conquérant ; ambitieux ;
- verbes de mvt = personnage en action
§ 5 « heurtant les épaules, poussant » actions au participe présent = simultanéité
- Personnage conquérant : agit comme un militaire ( comme DJ ), comme un sous officier ( son passé ) « descendre de cheval » « pour ne point déranger » « la poitrine bombée » « battait le pavé avec son talon »
> Brutal, sûr le lui, très droit
+ Gradation §5 quelqu’un, les passants, les maisons, la ville entière
> Volonté de défier
Personnage insatisfait > §10 il espérait tjs plus et mieux
> §11 parallélisme : « poche vide » > < « sans bouillant »
présentation d’un personnage démuni + ambitieux
2) le personnage séduisant
(Comme DJ)
- § 3 allusions aux femmes qui le regardent
§ 11 il s’allumait au contact des allumeuses
> fort pouvoir auprès des femmes
- Très calculé ; il se sert de sa séduction pour parvenir à ses fins.
Antithèse : par nature / par pause § 2
- personnage guidé par ses sens :
Flairant : par d’animalité
présentation d’un personnage séduisant et égoïste
3) personnage médiocre ;
- envies bassement matérielles :
> Argent
> Femmes
> boire et manger
- pas vrmt élégant
§ 5 brutalement, vaguement, héros populaire
personnage assez symbolique du XIX ; matérialiste, ambitieux médiocre = arriviste
Dans une certaine mesure Maupassant fait son autoportrait, celui d’un personnage amoral, animé d’une force ; il n’est jamais gêné par le bien ou le mal, c’est aussi un manipulateur
Conclusion ;
Incipit qui présente un personnage ambigu suscitant l’admiration et le mépris
Annonce la suite > ambition
Caractéristique de Maupassant > réaliste, pas de qualités exceptionnelles. Au lieu d’accumuler les détails il choisit les plus important et multiplie les points de vue.
séquence 4 texte 2
Lecture analytique 2
p. 206 à 29 « Duroy […] la mort »
p. 206 à 29 « Duroy […] la mort »
Situation :
On a déjà assisté à l’ascension de Duroy
Passages importants :
Chap 4 : satyre du journalisme
Chap 6 : passage de l’invitation chez les walter ; satyre de la haute bourgeoisie (les parvenus) (160 à 167)
Duroy travaille à la place de Forestier, agonisant.
Thème de la mort, met un frein à la conquête de Duroy. On retrouve à travers lui Maupassant.
I] l’évocation de l’agonie
1) l’aspect réaliste ;
- des détails qui renvoient à l’agonie :
X la dégradation physique p207 à la fin
« Un mouvement nerveux et saccadé » > ne maîtrise plus son corps.
X difficultés à s’exprimer p 207 « balbutia » « déchirant à entendre » « essoufflé » énumération montrant la difficulté d’expression.
X ponctuation ; points de suspension p. 207 > essoufflement
Renvoi à avant p. 204 « cadavre » > quelqu’un de presque plus humain.
volonté d’être concret sur la mort
- l’attitude :
X réalisme ; refus de montrer un malade angélique ; ici malade acariâtre.
X personnage difficile à vivre p 206 « accablé », plainte « lampe » > un malade exigeant (+ interro-négative)
révèle le réalisme
- les attitudes des deux autres personnages :
Duroy :
« il aurait voulu » = impossibilité > personnage impuissant, qui ne sert à rien.
« Mais il n’imaginait rien de propre à le réconforter » > discours et dialogue maladroit sur Paris et le journal (avorté)
Madeleine :
Portrait très rapide
« tjs debout le visage contre le carreau » > elle fuit et est solitaire
« L’ombre du corps » p. 208 comme quelqu’un d’absent
deux personnages mal à l’aise face à la mort
- le silence :
Plusieurs fois répété ; « il y eut un long silence, un silence douloureux » (chiasme) met en valeur l’élément central.
+ Sonorités nasales > quelque chose d’atténué, de doux
Le sud de la France ne devrait pas représenter la mort, on a ici sa représentation symbolique.
2) une évocation symbolique ;
p. 207
« Il y eut […] plaque de sang »
Omniprésence du rouge et du noir, autre chose qu’une description on a ici une mort symbolique
- les sentiments des personnages ressortent > le narrateur devient personnage
+ Allusions à la mort p. 209 « se figer » « silence » « muet » « deuil attif » (comparaison)
> Allusions à la mort alors qu’on ne parle pas de cela
tout est contaminé par la mort
- la mort est personnifiée :
p. 207 dans la description « entrait dans la chambre »
p. 208 « la nuit s’était répandue »
la mort est concrète
Une description réaliste et symbolique > impressionniste
II] Angoisse et mise en valeur ;
1) angoisse de Forestier ;
Monologue p. 207 l. 34 > parle à lui-même :
Nostalgie, mélancolie : il compte les jours, il y en a de plus en plus > refus de la mort
Il parle de choses concrètes > montre son attachement à la vie
Ponctuation > lassitude
Intensif « comme j’aimais ça ! » l. 46
Série d’oppositions entre le monde des morts et des vivants > pathétique
Mélange des temps > il va bientôt mourir
« Ça continuera après moi » > personne excuse = vanités de la vie
angoisse de perdre sa vie, d’avoir servi à rien et d’affronter la mort.
2) Duroy ;
- mise en valeur des sentiments « angoisse » « inconnue » « atroce » l. 62
- « la hideuse mort à portée de main » angoisse physique
- aspect concret l. 55 à 60 > discours qui rejette la mort (plus forte que l’homme)
« la voilà » > proximité
A inspiré des philosophes comme Schopenhauer
Conclusion ;
Scène important, centrale, à part ; qui met un frein
Typique de Maupassant > réaliste & impressionniste
Logique dans l’intrigue ; forestier est un obstacle à l’ascension de Duroy.
Met en valeur sa vision de l’existence et sa terreur de la mort, de la folie et de la dégradation.
Thème repris par Schopenhauer, Camus dans l’Etranger, Sartre dans La Nausée
séquence 4 texte 3
Lecture analytique 3
Partie II chap 2 p. 259 à 261
Partie II chap 2 p. 259 à 261
Comment le journalisme peut-il détruire ?
Double satyre du journalisme et de la politique.
I] la satyre du journalisme
1) le portrait de Madeleine ;
Représente le journalisme
- focalisation interne (narration par Duroy)
X admiration p. 260 l. 24 « rude diplomate » > habilité
X mystère : questions, ne connais pas ses méthodes, personnage opaque > vision critique du journalisme, des sources douteuses.
X « nouveau mari de Madeleine » l. 70 périphrase qui rabaisse Duroy et met en valeur madeleine
- les méthodes de Madeleine ;
X accumulation l. 17 à 20 ; montre le réseau de Madeleine > manque d’objectivité
X abattage : le fait de faire de quelqu’un une victime > met en valeur l’acharnement
3x > presse d’attaque, polémique, partisane
X vocabulaire de type polémique > absence de mesure ; « attaque » « frappée » « violenté » « virulente »
X le mot « campagne » = à la fois militaire / médiatique / politique
- image du journalisme au service du désir personnel : légion d’honneur l. 68
- journalisme politisé : politicienne
Elle ne peut agir à la lumière > représente la femme du XIX
> reflète la misogynie de Maupassant
Elargissement au journalisme
2) critique du journalisme ;
- privilégie la forme au fond (p. 59)
« Habile » « adroite » « plaisante » « ironique » (antithèse) > persuasion
Volonté de séduire et de manipuler plutôt que d’informer
- journaliste de joue à l’apparence ; « poignées de mains », « coup de chapeau » > vanité, conception matérialiste.
- un journalisme d’intérêt :
Ce qui est important pour lui « espérances confuses » é »légion d’honneur » « plus encore »
> Arrivisme
- liens très étroits entre le journalisme et la politique qui ne devraient pas être
p. 161 « actionnaire » « son collègue » « associé »
> Collusion
II] la satyre de la politique
1) portrait de LM ;
Un homme imparfait
Un de ces : dévalorisant + généralisation
Changement de focalisation : narrateur omniscient (0) > il ne laisse rien dans l’ombre (implicite)
- répétition de sans : il lui manque quelque chose
- adj négatifs : « avocat de province » « finaud » « machiavélisme de village » « assez »
- vocabulaire explicit1e : « trouble » « avorté « peu fine » > rien n’est caché
- les défauts ;
médiocre et ambitieux (seulement pour sa personne « décrocher », « visait ») comme Duroy
Opportuniste : n’a pas de conviction (images)
Politique + religion : jésuite = hypocrisie et corruption
Champignon : homme comme un objet
Douteuse : homme versatile
critique générale
2) critique de la politique ;
IIème république
- corruption « société trouble, mêlée et peu fine » « hauts fonctionnaires » > critique de la république : ne croit pas au suffrage universel (« fumier populaire du suffrage universel ») comme Zola/
- élargissement à l’Homme : « rien à sauver »
L’Homme est vain (= Schopenhauer)
Conclusion ;
Double satyre ; du journalisme à travers Madeleine et de la politique à travers Laroche Mathieu.
Caractère impressionniste.
Montre qu’au XIX la presse est très puissante (= Zola ; affaire Dreyfus)
Dernière édition par arthur le Dim 8 Juin - 17:18, édité 1 fois
séquence 4 conclusion
Lecture analytique 4
P 413 à 415
De l’évêque à la fin.
P 413 à 415
De l’évêque à la fin.
> cmt Maupassant met il en valeur le triomphe du personnage
> Satire du XIXème
I la mise n va leur du triomphe ;
- une scène : qui ralentit le rythme ; comme en temps réel > met en valeur le passage.
Lenteur = personnage qui savoure le mariage solennel.
- réalisme avec ttes les étapes du mariages ;
§ 1&2 : pause descriptive avec accumulations et énumérations
« comme des vagues » = amplification
Intensif « si » = importance
Personnification = aspects grandioses
Antithèses = métamorphose totale (« effrayante »)
+ comparaisons
point de vu subjectif du personnage augmente don triomphe (orgueil)
§ 3&4 fin de l’office ;
Triomphe du baron ; Dieu vient le bénir en personne
Suzanne est subalterne > personnage egocentrique
+ focalisation interne > imbu de lui-même
§ 5à9 les félicitations ;
Personnage très entouré
Comparaisons : « fleuve interminable » (hyperbole) = mise en valeur de la foule
« affolé de joie » l. 34, « se croyait un roi » l. 34 = mise en valeur de son contentement
§ 10&11 traversée de l’église ;
L. 61&62 = mise en valeur de la dignité de Duroy
l. 63 « la tête haute, les yeux fixés » = savouration de l’aspect théâtral
L. 67 « il ne pensait qu’a lui » = mise en valeur de la fin sur une phrase minimale
§ 12à14 sur le parvis de l’église ;
Amplification de la foule = succès de Duroy
Reprise l. 69&70 « pour lui » = égocentrisme
vision réaliste par toutes le parties mais déformée par la focalisation interne.
- la focalisation interne met en valeur le personnage ;
Mise en valeur des sentiments ;
Registre lyrique
+ « affolé de joie » = hyperbole
Un mélange de sentiments et de sensations L. 40 « son, goût, caresses » = personnage pas cérébral mais sensuel
« Frissons » l. 64&65 = aspect concret
> personnage enivré par ses sens = mise en valeur du concret, du matérialisme (> < idéalisme)
Champ lexical du regard ;
§ 13 « levant les yeux », « il découvrait »
> personnage à l’affut de nouvelles conquêtes
Mise en valeur d’un personnage puissant :
Triomphe amoureux « se jette à ses pieds »
Personnage qui revient
mise en valeur d’un personnage triomphant sur le plan social et amoureux et savourant toutes les étapes de son mariage.
II la satire de la société
Mise en valeur de la décadence
1) le personnage de Duroy
triomphant mais mauvais
- mise en valeur des défauts ;
Mégalomanie : hyperboles, goût du spectacle, allusions politiques
Egoïste : Suzanne est un accessoire « il ne pensait qu’à lui »
Epique, arriviste : « Bond » §13 + marche vers un milieu ouvert : le personnage en veut encore plus.
Immorale : ne respecte pas la morale chrétienne (attitude déplacée de la dernière phrase qui annonce l’adultère)
> héro sans talent qui réussit en utilisant la souffrance des autres (pessimisme)
2) la critique sociale
- religion (anticléricalisme)
§ 1&2 = mariage prestigieux, bourgeois, un mariage de pacotille > hypocrisie de la religion
+ l. 1 « harangue » même sens que sermon mais s’emploie dans le commerce
Critique de l’institution religieuse avec un mélange de sexe et de religion § 7 « au sortir du lit » = ridicule de l’église
« Homme Dieu » « sacrifice » = référence à un religion païenne > Dieu amusant (> < sérieux et solennel)
- le mariage ridiculisé
Suzanne ne représente rien pour son mari, ce dernier ne semble pas concerné par le mariage.
Tout ce qui devrait représenter le mariage conjugal est égal à l’adultère (+ Maîtresse) = ironie
satire de l’arrivisme, du mariage & de la religion
conclusion :
Dénouement qui met en valeur le triomphe du personnage, 2ème niveau de critique de celui-ci mais aussi de la société qui l’entoure.
Anti héros (médiocre) et ambigu (difficile de s’y identifier)
Ouverture :
Mère dans Vipère au Poing Bazin
Schopenhauer = pessimisme
réalisme
Dernière édition par arthur le Dim 8 Juin - 17:22, édité 2 fois
Re: cours de français ! (séquence 4)
Je note tt de même un certain relâchement de la part d'Arthur :p Les premières séquences étaient plus longues^^
Décoooooonne note pas plus on en a assez xD
Décoooooonne note pas plus on en a assez xD
Steffy- Encouragement +
- Nombre de messages : 54
Age : 31
Localisation : Humm profondément... ^^
Date d'inscription : 30/04/2008
Re: cours de français ! (séquence 4)
j'crois que tu sais ce que je pense de ta réponse steff xD
En plus ; c'est même pas vrai d'abord ! :p
En plus ; c'est même pas vrai d'abord ! :p
Steffy- Encouragement +
- Nombre de messages : 54
Age : 31
Localisation : Humm profondément... ^^
Date d'inscription : 30/04/2008
Re: cours de français ! (séquence 4)
J'crois qu'on le dira jamais assez... Arthur on t'aime, Arthur tu nous sauves !
Allez on est parti pour résumer 42H de cours xD
Allez on est parti pour résumer 42H de cours xD
Re: cours de français ! (séquence 4)
J'crois qu'on le dira jamais assez... Arthur on t'aime, Arthur tu nous sauves !
Allez on est parti pour résumer 42H de cours xD
Allez on est parti pour résumer 42H de cours xD
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