cours de français ! (séquence 3)

Dom Juan sans les éccarts au sujet durant des heures...

Séquence 3

Lecture analytique 1
Scène d’exposition Dom Juan, acte I, scène 1

- En quoi est ce une scène d’exposition ?
- En quoi cette scène d’exposition est elle originale ?

I] la scène d’exposition ;

1) le cadre spatiotemporel ;

- Lieu ; en Sicile ( pas en France ; soucis de réalisme et prudence vis-à-vis de la censure) (1ère didascalie)
- Epoque : pas précisée, on en déduit qu’elle est contemporaine à l’écriture
- Décors : très sommaires


2) les personnages ;

- Gusman : valet de Done Elvire. Personnage secondaire, il sert à donner la réplique à sganarelle. Il sert de faire valoir et fait avancer la pièce grâce à ses questions et énumérations qui amènent Sganarelle à entrer dans la présentation de l’intrigue.

- Done Elvire ; Femme de Dom juan ( l. 42 43 « mais les saints nœuds du mariage le tiennent engagé »)
Done = attribut de noblesse.
Elle est très amoureuse de Dom juan qui l’a tirée d’un couvent (l. 53 « l’obstacle sacré d’un couvent »)
Elle représente toutes les victimes de DJ et la noblesse, la noblesse d’âme.

- Dom Juan ; personnage important, convocation indirecte (il n’est pas présent dans la scène).
Il est présenté par son valet dans sa longue tirade. On a ici un portrait subjectif, un blâme (l. 58 « pèlerin » négatif + ironique.)
* personnage athée, impie qui ne croit ni aux religions ni aux superstitions. (L. 66 à 70 énumération montrant l’absence de religion impliquée par ni. « ni saints, ni Dieu »)
Cela à été censuré ; c’est donc un personnage scandaleux.
On peut voir que la présentation est celle d’une partie d’un libertin, celui des mœurs et de la religion. DJ est indépendant de toute pensée.
* personnage débauché : il bafoue le sacrement du mariage (L.73 74 « un mariage ne lui coûte rien à contracter »), il s’est marié plusieurs fois (l. 75 « épouseur à toutes mains » : pour lui le mariage n’est rien)
* personnage séducteur («dame demoiselle, bourgeoise, paysanne » : image du noble déclassé). Il en devient même contre nature, ridicule (L. 73 « toi, son chien, son chien »). C’est un personnage n’étant pas en accord avec son statut (L. 87 double oxymore « grand seigneur méchant homme ») (L.84 hyperbole « le plus grand scélérat que la terre n’ai jms porté » : met en valeur l’aspect négatif de DJ mais aussi une certaine fascination pour ce personnage)


- Sganarelle : personnage important, souvent présent, en opposition avec DJ puisqu’il le critique ;
* il représente la morale chrétienne traditionnelle : (L.65 énumération « un enragé, un chien […] Sardanapale » mélange la foi, la superstition, la religion).
Sganarelle n’a pas de réelle religion mais plutôt une peur d’être puni par Dieu (L. 83 « le courroux du ciel » vison archaïque de la religion).
Tout cela relève les faiblesses de Sganarelle, à travers ce personnage, Molière remet en cause toute la puissance de la religion.
* valet pédant : il fait semblant d’être cultivé, comme le montre son mépris pour Gusman (L. 44 « mon pauvre Gusman, mon ami »).
Il invite aussi l’éloquence de DJ (L. 63 « inter nos ») (« Epicure, Sardanapale » ; allusions mythologiques). Mais c’est aussi un personnage ridicule ; il utilise par exemple Aristote à mauvais escient
* homme du peuple : expression familières (l. 58 « pèlerin » l. 75 « à toutes mains »). On nous présente ici un personnage burlesque, il existe un décalage entre le fond et la forme ; une présentation sérieuse et des expressions triviales.
Sganarelle est un personnage ridicule, type du valet de comédie, il assure la majeure partie du comique. Il forme un couple avec son maître (quasiment à toutes les scènes).
* il est peureux : décalage entre le portrait négatif et la rétractation finale (l. 95 « je dirais que tu as menti »). Ce lien de soumission et d’hypocrisie montre un personnage fasciné que son maître repousse.


3) l’intrigue

Début « in medias res »
- Dom Juan a épousé Done Elvire puis l’a abandonnée, Done Elvire se lance à sa recherche (L.15 « s’est mise en campagne après lui »)
> pièce dynamique puisque DJ doit souvent fuir. La scène d’exposition rient sa fonction informative.


II] l’ originalité de cette exposition ;

1) une construction au service de la tension dramatique

- éloge du tabac, (L1 à 14) apparemment facteur d’attente et de suspense, créateur du comique (allusion comique à Aristote). Comique de caractère met en valeur la vantardise de sganarelle.
Par le biais de Sganarelle fait une éloge implicite du théâtre (L L 4-5 « il réjouit et purge les cerveaux » » devenir un honnête homme le théâtre divertit et instruit en même temps (apologue). Molière en position de faiblesse fait l’éloge du théâtre et en même temps le protège.
Il présente DJ, personnage mauvais, pour prévenir le spectateur (catharsis).

- dévoilement progressif qui maintient la tension, Sganarelle fait tout pour rester vague, il utilise par exemple le conditionnel.

- tirade de Sganarelle (l 57-95) présentation du héro, antipathique, fascination pour personnage intéressant, tout est présenté pour que le spectateur ai envie de voir ce personnage. Molière est coutumier de ce genre d’attente, comme dans Tartuffe où le héros apparaît dans le IIIème acte. Le spectateur est impatient.



2) le mélange des registres ;

Mélange de dramatique et de comique ;

-comique de caractère : rythme rapide et présentation de DJ (burlesque)

- aspects plus inquiétants (peur l.13 « j’ai peur », l. 24 « d’un si mauvais augure », l. 69 « remontrances chrétiennes » (châtiments de Dieu))
Mélange de dramatique et de comique : permet de mettre en avant l’ambiguïté de la pièce.


Conclusion ;

Scène d’exposition efficace : beaucoup d’infos en un minimum de temps.
Un personnage principal qui ménage l’intérêt du lecteur.
Molière fait l’éloge de son théâtre et aborde le thème de la pièce ; le libertinage.

Séquence 3

Lecture analytique 2
Acte I scène 2

Longue tirade de DJ ; un autoportrait
- l’autoportrait et se conception de l’amour ( éloge du libertinage et de l’inconstance)
- quelle est l’efficacité argumentative de cette tirade


I] l’autoportrait du séducteur

1) le personnage par lui-même

-jouisseur : recherche le plaisir ;
Champ lexical des sensations qui renvoie au plaisir (L. 64 « douceur extrême » L . 83 « l’impétuosité de mes désirs » deux hyperboles).
Personnage dominé par ses sens ; manière de dédouaner (L. 54 « j’ai beau être engagé », L.58 « la nature nous oblige », L. 59 « je ne puis refuser ».)

-esthète (beauté) : ne s’intéresse qu’à la beauté ; il est sensible (L. 52 « la beauté me ravit ») champ lexical de la beauté (« l. 55 « une belle » L. 62 « charmes inexplicables »).
Il ne peut rien à son attirance pour les femmes.

- conquérant : comparaison à Alexandre le Grand (L. 84 verbes « convaincre, combattre, rendre la guerre… »)
Vocabulaire militaire qui met en valeur la stratégie (diffère de l’amour spontané), un amour fondé sur la manipulation > difficulté de l’entreprise
La femme est l’objet du désir, un personnage faible (L. 69 « les petites résistances », L. 70 « vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur ») conception cruelle de l’amour : vision et personnage immoral, amour égoïste.

 ce portrait complète celui de Sganarelle, mais sous forme de louange et qui lui permet de montrer sa propre vison de l’amour.


2) l’éloge de l’inconstance ;

- généreux : (l. 49 « toutes ces belles », L. 56 « faire injustice aux autres » L.57 « rends à chacune ») Il apporte la justice bafouée par la fidélité > devoir de gentilhomme ; il ne fait que répondre aux sollicitations des femmes (typique du libertin)

- indigné : questions (L. 41-47) registre ironique et d’indignation, pour lui la fidélité est contre nature et l’infidélité naturelle.
Il est aussi intelligent (Antiphrase L 44 « la belle chose » L 44-45 « ensevelir […] d’être mort).
Il est quelqu’un qui ne peut résister (L. 58 « la nature nous oblige » argument d’autorité L. 54 « j’ai beau être engagé »)

- infidèle : besoin de l’homme, celui d’être libre (libertinage), personnage libertin, amour libertin = cohérence.

- exagéré : hyperbole (l. 83 « je me sens de cœur à aimer toute la Terre »). Quelqu’un sans limite ( L. 73 « tout le beau de la passion est infini »).
Personnage qui s’ennuie sans conquête («L. 74 « nous nous endormons »)

 image de l’amour libertin ; libre basé sur la séduction, sans limite, perpétuel conquête.
 DJ se présente comme un homme libertin, sur le lui et intelligent.


II] l’efficacité argumentative de cette tirade ;

1) une construction rigoureuse ;

L. 41-48 : critique de la fidélité, rejet de la thèse adverse.
L. 48-63 : éloge de l’infidélité, sa thèse.
L. 63-fin : figure héroïque (stratégie, allusion à Alexandre)

 texte argumentatif, présentation logique, convaincante


2) les éléments de la persuasion ;

- volonté de généraliser ; l’utilisation du « on »et « nous » et du présent de vérité général.

- langage soutenu différent de celui de Sganarelle > volonté de montrer sa différence.

- vocabulaire précieux : vocabulaire élaboré (L. 61-62 « les inclinaisons naissantes », L. 67 « transport ») Dom Juan parle comme un aristocrate > volonté d’impressionner

- utilisation d’images ; comparaison de l’amour avec la guerre, du libertinage avec la justice et la nature, des images universelles et valorisantes.

- exagérations : hyperboles ; (l. 83 « un cœur à aimer toute la Terre » L. 46 « s’ensevelir » > montre son orgueil voire sa mégalomanie.

- ponctuations interrogations rhétoriques + exclamations (indignation) (L. 47) Début de la tirade : Dom Juan veut montrer son indignation dès le début > discours plus vivant.

 tirade à la fois convaincante et persuasive qui s’adresse au spectateur et à Sganarelle



Conclusion ;

Cette tirade est à fois un profession de soi ( DJ expose ses idées) et un autoportrait (libertin). C’est un plaidoyer qui révèle l’intelligence de DJ.
Un personnage ambigu ; immoral et brillant.
Cette tirade complète le portrait fait par sganarelle.
Une scène qui annonce le nouveau projet de DJ (allusion au ciel), aspect dramatique.

Séquence 3

Lecture analytique 3
Acte III, scène 2

I] une scène de provocation ;

Trois provocations successives et dans l’ordre croissant.

1) Remise en cause de l’aumône (L. 1-20)

- l’aumône au 17ème : la pauvreté était une classe sociale, l’aumône était un devoir vis-à-vis des pauvres. Paradoxalement, les pauvres étaient considérés comme privilégiés puisque ce seront les premiers à aller au paradis, les plus riches donnaient dans le but d’assurer leur place pour le paradis, (ex : sermons de Bossuet : prêtre attitré de Louis XIV) sur l’éminente dignité des pauvres.

- Dom Juan remet en cause l’aumône (L ;12 « ton avis est intéressé ») et son caractère naturel. Sa remarque marque un étonnement feint.
Il oppose aussi les biens spirituels et les biens matériels (L. 16 « prie le qu’il te donne un habit »).
Pour DJ, l’aumône ne sert à rien, ne veut rien dire.
Avec l’aumône, DJ rejette tout ce qui est communément admis.

 libertinage et cruauté ; il se moque de quelqu’un dans le dénuement le plus total, il a la volonté d’humilier.


2) Remise en cause de la prière (L. 21-37)

- L. 22-23 : rappel de l’utilité de la prière : prier pour les autres et leur prospérité ; échange : on donne aux pauvres pour qu’ils prient pour nous.

- la prière n’apporte pas la richesse aux pauvres, DJ feint encore l’étonnement (L.28), Présent de vérité générale (L.32-33)

Raisonnement logique : DJ prouve au pauvre que, bien qu’il prie il est tjs pauvre : rationnel.
Contraste entre le pauvre (irrationnel et religieux) et DJ (rationnel et impie).
Son raisonnement logique est encore plus provocant.


3) provocation du blasphème ;

Provocation la plus importante, censurée

- blasphème : interdit de nommer et d’offenser Dieu

- DJ dans le rôle du diable, tentateur qui propose une grosse somme.
Répétition du mot jurer ; harcèle et minimise le blasphème
Impératif
Interjection « ha ! ha ! » L37
- réaction du pauvre : inflexible et qui suscite de l’admiration, antithèse entre DJ.

- le don de DJ, le don final ; esprit aristocratique, chevaleresque, met en valeur la dignité de DJ.
« pour l’amour de l’humanité » normalement pour l’amour de Dieu, parodie de la charité chrétienne, il refuse Dieu, et pour lui seul les hommes sont importants

 pensée libertine + hypocrisie de la charité qui maintient ;es pauvres dans leur état et qui confronte les riches dans leur pensée.


II] Une scène d’affrontement ;

1) le pauvre (symbolique)

Personnage schématique ; pauvre et pieux. Il a un nom, Francisque, fait référence aux franciscains (ordre mendiant et très pieux). Il représente la vraie religion et ses bonnes valeurs. A travers lui, DJ voit dieu et le combat. DJ est impie puisqu’il offense tout le temps Dieu. Cela montre qu’il ne croit pas en Dieu mais aussi qu’il le combat.


2) Dom Juan (complexe)

- il est plus impie qu’athée
- personnage ambigu ; il a des qualités nobles (L.52 « je ne dois souffrir cette lâcheté ») vient du code de l’honneur, moyen aussi de ne pas perdre la face devant le pauvre comme il l’a fait devant les nobles.
Il a aussi des défauts : pervers et cruel puisqu’il profite de son statut pour offenser le pauvre.

 il répond au portrait que Sganarelle a fait de lui : grand seigneur méchant homme.



Conclusion :

Cette scène reflète l’ambiguïté du personnage de DJ.
Elle est importante bien qu’elle ne soit pas utile à l’intrigue. Elle révèle aussi les relations entre DJ et Dieu, qui sont en perpétuel conflit.
Elle est représentative de la pièce puisqu’elle met en valeur la complexité du personnage de DJ et la structure de la pièce (assez lâche). Et elle annonce aussi la suite : il a provoqué les hommes et Dieu, il s’attend donc à un châtiment divin.

Séquence 3

Lecture analytique 4
Acte 5, scènes 5 et 6

Le dénouement ;

- en quoi est-ce un dénouement ? classique ? baroque ?
- comment met il en valeur le personnage principal ?


I] le dénouement ;

1) Ce qui le rend classique (rapide, complet, logique et motivé)

- rapide : 2 courtes scènes, beaucoup plus efficace que les longs dénouements, apporte de l’intensité

- logique : trois grandes parties : - DJ avec le spectre
- le spectre se transforme
- DJ meurt
- Sganarelle râle

- complet : mort du héros (didascalie l. 12-14), seul Sganarelle reste dans l’incertitude (L. 19 « il n’y a que moi de malheureux »)

- motivé : ce dénouement (mort du héros) est plutôt une dénouement de tragédie. Le châtiment augmente avec la provocation (évolution des provocations : sociales et humaines à religieuses, le châtiment devient donc divin et surnaturel) les apparitions symbolisent les différentes provocations :

* spectre en femme voilée : représente les femmes que DJ a déshonoré, hypothèse « s’il ne se repend pas […] sa perte est révolue »
> porte de sortie, lien de cause a effet qui renforce la logique de ce dénouement

* spectre avec sa faux : allégorie du temps qu passe et de la mort.
> punition de la transgression de DJ (mélange des vivants avec les morts : il mange avec la statue)
> punition d’un homme qui ne pense qu’aux sensations immédiates (L9-11 voc des sensations). Personne qui vit dans le présent et refuse le futur.

* la statue du commandeur : représente Dieu (voc religieux)
> punition des multiples provocations que DJ a fait à la religion
> la statue représente la solidité et la constance als que DJ est inconstant

* la statue prend la main de DJ (L4-5 « donnez-moi la main ») : donne sa parole, chose bafouée par DJ (Done Elvire, Dom Carlos)

 dénouement motivé : toutes les provocations expliquent un châtiment divin. Accumulation de tous les méfaits ; logique et motivation.

2) l’aspect baroque :

- l’aspect fantastique : pas de vraisemblance (spectres, statues, métamorphoses).
Aspect spectaculaire : dernière didascalie (pièce à machine)
> volonté d’impressionner « grand feux » ; renvoie aux grandes peurs du XVIIème (mort, au-delà).
Thème baroque. Deux ex machina : apparition soudaine d’un personnage spectaculaire
> dénouement baroque.

- le mélange des registres :

*tragique : héros tragique : mort inévitable, fatale (L.6 « entraîne » « résolus » scène 6) un héros digne.

* comique : personnage de Sganarelle,
- comique de mot (L. 8 « je te reconnais au marcher »)
- burlesque : décalage entre le comique de Sganarelle et la situation réelle, dernières répliques « mes gages, mes gages » avec un burlesque assuré par la répétition.
> aspect provocant : mélange de Dieu et d’argent.

 pas d’unité de ton (mélange de tragique et de comique)

Des aspects classiques mais une tonalité qui s’éloigne vers le baroque. Le dénouement mélange baroque et classique, une provocation pour le XVIIème.


II] la mise en valeur de Dom Juan :

- en apparence la mort de DJ représente la défaite : personnage impuissant face au surnaturel didascalie (l. 18-19) et au destin conforme à la morale sociale et chrétienne.

- un personnage fidèle à lui-même jusqu’ à la fin.

1) Révolté :

- il résiste (« non, non, plus rien n’est capable »)

- refus de ma soumission (« il ne sera pas dit ») tournure impersonnelle > force, attitude générale et éternelle.

- Défi : (L.5 « qui ose tenir ses paroles ») tournure interronégative > agacement, colère.

- courage : énumération ; pas de peur, ponctuation normale (L. 16 « je veux éprouver avec mon épée si c’est un corps ou un esprit ») homme d’action.

2) L’impie

- esprit rationnel ; « voir » : refus de tout élément surnaturel

- refus de se repentir (L. 22-23 « que je sois capable de me repentir » subjonctif, mode du virtuel > refus

- refus de toute forme de religion : met en valeur les sensation (dernière réplique) et « oh ciel » est ici une ironie : c’est vrmt une surprise.

 Dom Juan a été repris par d’autres auteurs > met en valeur le héros mythique.
 Malgré sa défaite DJ reste héroïque

Conclusion : dénouement spectaculaire et baroque, logique et presuqe complet.
Représentation d’une pièce qui est aussi baroque et classique .
Personnage mythique que l’on connaît encore ajd à travers par exemple
« Dom Juan Aux Enfers », « Les Fleurs Du Mal », Baudelaire (1857)
« Dom Giovanni » Mozart (1787)

On t'aime Arthur, 3éme gg de la soirée, y en manque plus qu'un